Herpès : pourquoi n’y a-t-il pas de traitement permanent?
En clinique, lorsqu’une personne me fait part de son diagnostic d’herpès, les mots qui suivent cette information sont souvent de nature péjorative. Découragement, déprime, gêne, honte, tristesse; c’est le lot de plusieurs personnes qui vivent avec le virus. Il n’est pas rare d’entendre des gens dire que c’est un peu l’équivalent d’avoir signé l’arrêt de …